Mélange de ciment, de sable, de graviers et d’eau
Mélange de ciment, de sable, de graviers et d’eau
(FOND)
Subjectile fermé en surface, présentant un pouvoir absorbant faible ou nul.
Apparition de bulles lors de l’application. Celles-ci peuvent apparaître sans laisser de traces ou subsister et se transformer en défaut de surface (cratères, pores…).
Réaction chimique. Apparition sur le fond de carbonates, sels de l’acide carbonique, exemple : carbonate de chaux. Ceux-ci doivent être éliminés par traitement adapté au type de carbonate avant la mise en œuvre.
Chape fluide dans laquelle le ciment a été remplacé par du sulfate de calcium (anhydrite). Ces chapes auto lissantes nécessitent impérativement un ponçage avant la pose d’un revêtement de sol ou d’une peinture.
Le faïençage de la peinture est une altération de la peinture due à son vieillissement ou à une température trop importante de la pièce lors de l’application (les solvants d’évaporent trop vite). On observe ce phénomène sous forme d’un réseau de petites craquelures, fissures.
Il s’agit d’ouvertures linéaires (horizontales, verticales ou obliques) qui affectent les maçonneries. Les fissures ont un tracé plus ou moins régulier, dont la largeur est comprise entre 0,2 mm et 2 mm.
Se dit de fonds présentant un PH basique, et risquant de laisser échapper des matières alcalines (voir alcalis), préjudiciables à la tenue de certaines peintures (alkydes par exemple). Ces fonds doivent être préalablement traités (neutralisation) dans le cas de recouvrement par des peintures à base de résines alkydes. Les peintures acryliques à l’eau et les pliolites peuvent être appliquées en direct
Terme de métier dans les travaux de bâtiment désignant couramment le subjectile. Support destiné à recevoir le revêtement (il peut se présenter nu ou déjà revêtu).
Ouverture linéaire de largeur inférieure à 0,2 mm (l’épaisseur d’une feuille de papier). Une microfissure est un défaut esthétique superficiel qui ne remet pas en cause la structure du mur, et ne nécessite donc pas de travaux de maçonnerie.
Elle caractérise le pouvoir absorbant du matériau. Sur les matériaux très poreux, une sous-couche devra être appliquée. Sur les matériaux non poreux, une peinture spécifique ou une sous-couche spécifique devront être appliquée
Propriété d’un subjectile d’accepter par absorption dans sa masse une certaine quantité de liquide (eau ou solvant) avec lequel il est en contact. Le pouvoir absorbant est notamment influencé par la nature du matériau, sa porosité et d’éventuels traitements de surface. Le pouvoir absorbant est caractérisé par la quantité pondérale de liquide admise par unité et surface du matériau.
Surface apte à être recouverte par une peinture ou un vernis
Le support de base est la partie du revêtement mural multicouche en contact avec le subjectile. Il est également appelé dossier ou envers du revêtement.
Surface comprenant toutes les opérations prévues au traitement d’un support (travaux préparatoires, apprêts et finition) à présenter au maître d’ouvrage et au maître d’œuvre au démarrage d’un chantier. Elle sert de référence lors de la réception des travaux.
Substance contenue dans certaines essences de bois comme le chêne et le châtaignier. Au contact de l’eau, les tanins remontent, et forment des taches violacées, jaunes ou marrons. Les essences de bois taniques sont souvent étuvées pour éliminer ces tanins. Une sous-couche est fréquemment conseillée avant l’application d’une peinture ou d’un produit bois sur un bois tanique non étuvé.